Naturisme Sur Skiathos
Après être allé plusieurs fois à Zakynthos, j’ai voulu connaitre d’autres iles grecques. Mon amie naturiste Marylène de passage dans son appartement de Zakynthos m’a appelé dernièrement pour me dire qu’elle avait trouvé une offre bon marché dans un hôtel 4 étoiles, et qu’il ne fallait pas rater cette offre me dit-elle. Nous convenons de nous retrouver sur cette ile. En survolant cette dernière je constate que Skiathos est relativement petite, qu’en l’avions à atterrie je pensais m’arrêter au milieu de la mer, la piste est assez petite et au bout c’est la mer, en conséquence le pilote freine fort !
Comme convenue, ma chère amie m’attend à l’aéroport, je la remarque dans la foule de badaud qui attendent. A son contact mes lèvres embrassent les siennes comme pour la remercier de cette nouvelle réunion et peux être pour son désir de me remonter le moral bien en baisse avec la météo en métropole. En sortant elle fait signe au taxi qu’elle avait réservé pour nous conduire à l’hôtel, le palais de Skiathos est formidable, tu vas voir, il est de l’autre côté de l’île.
-C’est loin ! lui demandai-je
-Pour te donner une idée de la distance, l’autre extrémité n’est qu’à 14 kilomètres.
Nous voilà arrivé à l’hôtel, elle alla chercher la clé de notre chambre pour déposer ma valise qui ne contenait que le nécessaire pour ce passage. Je dis à Marylène que la fin commençait à frapper mon estomac, pas trop loin de l’hôtel. Ce diner excellent et bien arrosé d’ouzos, il était temps pour nous de retourner à l’hôtel et d’aller nous coucher.
Comme vous vous en douté, sur une ile il faut être mobile, et par mon expérience de nudiste, je sais que les plus belles plages sont généralement les plus éloignées. Après concertation nous avons opté pour la location d’un quad pour nous déplacé ; A l’hôtel il était possible d’en louer un pour 25€ par jour. Bien sûr je pense qu’il moyen d’en obtenir à moins cher auprès des fournisseurs locaux. Mais comme nous n’étions pas là pour une grande période et perdre une journée à comparer cela me semble fastidieux, il nous a semblé plus judicieux de découvrir les lieux. Les deux premier jours la météo était bizarre 23 degrés dans la journée et la nuit 18 un peu comme en France, mais les jours suivant nous étions la plupart du temps avec 29 ° et faisait beau et chaud et cela se ressentait au niveau de mon entrecuisse ou la sueur glissait le long de ma raie de fesse heureusement l’air que nous avions sur le quad nous faisait le plus grand bien. Nous voulions d’abord trouver la légendaire « Banana Beach » en effet j’avais lu sur l’internet que cette plage avait été la plage nudiste officielle de Skiathos. Comme bien souvent j’ai remarqué que les textiles prennent possession des belles plages et faisaient en sorte de déplacé les nudistes dans des endroits moins agréables, il en était de même ici, ils avaient déménagé les adeptes du nudisme à « la petite plage Banana » situer juste à côté de la plage Banana, notre plage était bien plus petite. Des habitués de la plage que nous avons rencontrés, nous ont appris qu’un hôtel de luxe avait pris possession de la majeure partie de la plage pour y installer des transats de plage luxueux. Pour 20€ vous aviez un transat et parasol pour leurs clients, les textiles n’étaient donc pas les bienvenus ici et encore moins les nudistes. Pour accéder à la plage il faut passer par le terrain du complexe hôtelier. Une barrière nous bloque l’entrée, nous devons donc marcher jusqu’au bout.
Il n’y a pas de parking devant la barrière, il ne s’y passait pas grand-chose en cette fin mai, mais je n’ose imaginer ce qui se passe ici en juillet et août. A notre première tentative nous n’avons pas trouvé cette petite plage, nous avons dû avoir recourt à Google Maps, au bout de l’île à Koukonaries, se terminent les chemins pavés, de là il faut prendre la piste idéale avec notre quad. Nous traversons un paysage magnifique avec des vues sur la mer à travers les arbres et lorsque vous arrivez à la plage une taverne se dresse devant nous. Là se trouve des chaises longues. Nous nous installons sur nos chaises en me tournant de gauche à droite je pouvais voir au loin des petites colonies nudiste une vingtaine de personne voir 30 certains jours aussi nus que nous l’étions. Nos chattes étaient bien chaudes sous ce soleil et nous avons apprécié cette plage sans bikini avec une vingtaine de personne nue en moyenne et avons commencé à sympathiser, la journée s’écoulait paisiblement qu’en soudainement nous avons entendu quelqu’un crier, au début je n’ai pas trop fait attention, mais Marylène me dit regarde l’homme qui arrive de la taverne, il me semble gesticuler sauvagement, il arrive en un éclair près de notre emplacement en traitant notre voisine de salope dans un français impeccable et qu’il fallait qu’elle s’habille, tu ne dois pas rester ici parmi tous ces obsédé, avec quelques mots en Espagnol et anglais il ruminait ne pas aimait les naturistes et qu’il avait beaucoup payé d’euro pour que ma pute de copine s’expose sur la plage et non avec les culs à l’air, la femme effrayé à commencer à s’habiller, discrètement je lui fait signe de venir par ici, sa réaction n’a pas tardé il s’est précipité vers nous, plusieurs hommes à côté de nous se son levé en un éclair faisant barrage, avant qu’il ne devienne violent contre nous. Les hommes lui ont vite fait comprendre qu’il ne devait pas aller plus loin et qu’il appellerait la police, pendant que ces mâles montraient leurs pectoraux, nous nous sommes éclipsés toutes les trois, bien décidé à mettre de l’espace avec ce dernier. Avec grand plaisir je découvre qu’elle est française et qu’elle est avec son copain pour quelques jours ici.
-Je ne pensais pas qu’il était si jaloux, je ne l’ai jamais vu comme cela auparavant
-Tu es une adepte du naturisme, lui répondis-je
-Non, c’est la première fois, je marchais sur la plage et je suis tombé par le plus grand des hasards sur cette plage, j’ai vu un grand nombre de femme complètement nues, j’ai eu l’idée de faire pareil, j’ai eu un moment d’hésitation pensent que tout le monde me regarderait, mais rien de tout cela. Je commençais à prendre confiance qu’en Marc, puis que c’est ainsi qu’il se nomme à « déboulé » comme un malade…vous avez vu !
-Ne t’inquiète pas tu rentres avec nous à notre hôtel
-Mais je n’ai pas de voiture
-Grimpe avec nous on va être serré mais on n’est pas trop loin. A j’en oubliai les bonnes manières, nous sommes Marylène et moi je suis Amann.
-Moi c’est Marina, je ne voudrais pas vous presser mais il me semble voir ce connard au loin !
-Alors grimpe entre nous deux, ainsi il ne te remarquera pas
-Colle toi bien à moi pour que Marylène puisque grimper; Nous roulions vers notre hôtel Marina passa ses bras contre ma taille, je la sentais bien contre moi, dans la précipitation de partir je n’avais pas mis de string pour couvrir ma chatte et part le vend qu’il y avait ma robe légère se soulevait laissant entrevoir mon trésor de mature au regard des passant que nous croisions sur le chemin. En pleine concentration je ne pus esquivez un nid de poule…
-Pardon les filles pour vos postérieurs, alors que je m’exprimais je sentis quelque chose caresser ma petite touffe, par la secousse une des mains de Marina avait glissé sur ma chatte, sa main était douce, elle ne semblait pas gênée d’avoir sa main ici puisque qu’elle ne l’avait pas retiré aussitôt. Je décidais de ne rien dire et de continuer notre conversation on verra bien. Mais en attendant je sentais ses doigts se balader sur ma toison. Dans mon rétroviseur je voyais ma Marylène se délecter de la vue plongeante sur la poitrine de Marina. Il faut dire qu’elle avait une grosse et superbe poitrine, je l’avais remarqué sur la plage, mais maintenant qu’elle était collée contre moi, je sentais la fermeté de ses tétons dans mon dos, cela me donnais un réel plaisir de la sentir ainsi contre moi. Je me disais que sens sa robe de plage jaune cela serait surement encore plus sensuelle par la fermeté de ses seins, ils n’avaient rien à voir avec ma poitrine tombante de mâture, ses derniers me rappelaient les miens dans ma jeunesse. Alors que je regardais dans mon rétro pour tourner, j’observai la main de Marylène palper un des seins de notre « invité » ses doigts massaient avec virulence se dernier, je sentais son souffle dans mon cou, qui m’annonçait son excitation, je ne fus pas long à le découvrir puis qu’elle empoigne avec vigueur une touffe de mes poils, j’eu un petit frémissement, il me semblait qu’elle avait arraché celle-ci, agrippée si fort à mon duvet. Nous arrivons enfin à notre hôtel, il était temps ma toison commençait à souffrir par les crispations des doigts de Marina. Nous l’invitons à monter dans notre chambre pour qu’elle se repose un peu marqué par le scandale de son copain sur la plage.
La suite dans mon livre 💋 Amann